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Le Mans vs Red Star : Le Labo

Toujours dans le coup bien qu'un peu décrochés pour le podium, les Manceaux n'ont guère le droit à l'erreur désormais. Problème, c'est un Red Star en pleine bourre qui débarque au MMArena.


Loïc Damour a déverrouillé son compteur à Chambly. Bis repetita face au Red Star? | © Nicolas Gosset


Face-à-face

Compagnon de route des années 90, le Red Star retrouve Le Mans pour la 4e fois en moins de deux ans, portant le total de la rivalité à 24 matchs. L’Etoile Rouge accède ainsi au 11e rang des équipes les plus souvent affrontées par les Sarthois, à égalité avec Gueugnon.


Les Sang & Or sont encore en retard dans le bilan général. Avec 8 victoires parisiennes contre 7 mancelles, il sera l’occasion ce vendredi d’équilibrer la balance. Invaincus depuis les retrouvailles en National, les Sarthois ne se sont plus inclinés depuis décembre 1998 en revanche.


A domicile, Hafidi et ses coéquipiers restent sur une victoire (2-1) la saison passée. Mais ont déjà chuté 4 fois contre les Audoniens (à l’époque Bollée), pour autant de victoires. Parmi les matchs d’anthologie, on retiendra évidemment cette fameuse victoire de janvier 1998 (6-3) (voir notre article sur ce match)

 

L'arbitre

Ce sera une première cette saison pour Floris Aubin et les Manceaux. L’arbitre méditerranéen, âgé de 43 ans, avait déjà été au sifflet à une reprise lors de l’exercice précédent : lors du nul à Cholet (2-2) pour l’avant-dernière journée. Nous l’avions également croisé une fois en 2018-2019, pour une victoire à Lyon-Duchère (0-1).


Il n’a pas encore arbitré le Red Star cette saison non plus. On notera que sur ses 9 rencontres dirigées depuis la début du championnat, il n’a encore jamais eu à sortir de carton rouge.


© FFF
 

200e pour Gomez

Match un peu particulier pour Thierry Gomez : ce sera en effet la 200e rencontre officielle depuis qu’il est le président du club sarthois.


Repreneur des Sang et Or en juillet 2016, il devient officiellement l’homme n°1 de l’institution le 17 octobre de cette même année suite à l’AG extraordinaire qui officialisait la création de la SASP dont il est l’actionnaire majoritaire. Et c’est par une victoire en Coupe de France (5-0) contre Changé quelques jours plus tard que son bilan débutera.


Depuis presque 6 ans maintenant, il aura connu 3 montées, 95 victoires, 48 nuls et 56 défaites. Avec plus de 47% de succès, il s’agit du deuxième meilleur bilan pour un président sarthois, juste derrière son prédécesseur.



Au rayon longévité, il se classe à une confortable 3e place dans l’historique des sept présidents mucistes. Bien loin toutefois des deux plus capés, avec chacun plus de 10 ans passés aux commandes du club : Jean-Yves Merdrignac (442 matchs) et Henri Legarda (433 matchs).


 

Quart d'heure de folie

On ne pourra pas reprocher aux joueurs de Cris de ne pas démarrer les matchs la rage aux dents ! Car, si on analyse les 28 buts inscrits par les Sarthois depuis le début de saison de National, on constate que le premier quart d’heure est fondamental.


8 fois les Sang & Or ont ainsi scoré dans les 15 premières minutes, soit près de 30% de leurs buts. Un chiffre à nouveau confirmé lors des deux dernières sorties (Donisa contre Boulogne, Damour à Chambly) et qui est donc anormalement élevé. Ajoutez à cela 5 autres réalisations entre la 16e et la 30e, cela donne donc près de la moitié des buts dans la demi-heure du début. La première mi-temps est donc bien celle des Manceaux.


A contrario, difficile de faire beaucoup évoluer le score dès lors que la pause est passée. Pas de money time dans la tradition mancelle cette saison, avec seulement 2 petits buts marqués dans le dernier quart d’heure : la réduction du score inutile à Châteauroux par Glaentzlin (J3) et le but bien plus important de Bègue dans les arrêts de jeu à Créteil (J18).




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